« Les lumières des villes pour traquer la rougeole »
Page 1 sur 1
« Les lumières des villes pour traquer la rougeole »
Sciences et Avenir
Sciences et Avenir s’interroge : « Est-il possible de suivre la propagation d’une épidémie depuis l’espace ? Il semble que oui d’après la publication d’une équipe de l’université de Princeton dans Science ».
Le magazine note que les auteurs « y présentent un nouvel outil permettant de localiser les foyers infectieux de la rougeole au Niger en se servant d’images satellites révélant les points lumineux (éclairage et feux) la nuit ».
Sciences et Avenir explique qu’« au Niger, les épidémies de rougeole fluctuent largement d'une saison à l'autre mais des études antérieures avaient montré que les infections tendent à chuter au début de la saison des pluies et à culminer lors de la saison sèche. Les chercheurs suspectaient que des changements dans la densité des populations des villes pouvaient jouer un rôle, celle-ci augmentant lors de la saison sèche et diminuant au début des pluies lorsque les gens retournent à la campagne pour cultiver ».
Le magazine relève que « pour mieux […] comprendre la dynamique du virus de la rougeole, [les auteurs] ont concentré leur attention sur 5 villes. Ils ont obtenu les images prises entre 2000 et 2004 par un satellite de défense américain la nuit et comparé les cas de rougeoles répertoriés par le ministère de la Santé du Niger. Ils ont constaté une corrélation entre le nombre de cas et l’importance de l’éclairage des villes ».
Nita Bharti, principal auteur de l’étude, explique : « Nous nous sommes tourné vers cette technique car il n’y a vraiment aucun autre moyen de suivre l’évolution des populations dans un endroit comme le Niger. C'est vrai pour une grande partie de l’Afrique de l’Ouest et dans beaucoup d'autres endroits dans le monde ».
Sciences et Avenir retient que « pour les chercheurs, les vagues d’épidémie de rougeole sont probablement le résultat de déplacements de population, plutôt que des facteurs environnementaux comme les précipitations. Cette découverte pourrait aider les autorités sanitaires dans leurs projets de vaccination. […] L’équipe de Princeton continue de travailler dans cette voie en testant d’autres maladies comme le paludisme et la méningite ».
Sciences et Avenir s’interroge : « Est-il possible de suivre la propagation d’une épidémie depuis l’espace ? Il semble que oui d’après la publication d’une équipe de l’université de Princeton dans Science ».
Le magazine note que les auteurs « y présentent un nouvel outil permettant de localiser les foyers infectieux de la rougeole au Niger en se servant d’images satellites révélant les points lumineux (éclairage et feux) la nuit ».
Sciences et Avenir explique qu’« au Niger, les épidémies de rougeole fluctuent largement d'une saison à l'autre mais des études antérieures avaient montré que les infections tendent à chuter au début de la saison des pluies et à culminer lors de la saison sèche. Les chercheurs suspectaient que des changements dans la densité des populations des villes pouvaient jouer un rôle, celle-ci augmentant lors de la saison sèche et diminuant au début des pluies lorsque les gens retournent à la campagne pour cultiver ».
Le magazine relève que « pour mieux […] comprendre la dynamique du virus de la rougeole, [les auteurs] ont concentré leur attention sur 5 villes. Ils ont obtenu les images prises entre 2000 et 2004 par un satellite de défense américain la nuit et comparé les cas de rougeoles répertoriés par le ministère de la Santé du Niger. Ils ont constaté une corrélation entre le nombre de cas et l’importance de l’éclairage des villes ».
Nita Bharti, principal auteur de l’étude, explique : « Nous nous sommes tourné vers cette technique car il n’y a vraiment aucun autre moyen de suivre l’évolution des populations dans un endroit comme le Niger. C'est vrai pour une grande partie de l’Afrique de l’Ouest et dans beaucoup d'autres endroits dans le monde ».
Sciences et Avenir retient que « pour les chercheurs, les vagues d’épidémie de rougeole sont probablement le résultat de déplacements de population, plutôt que des facteurs environnementaux comme les précipitations. Cette découverte pourrait aider les autorités sanitaires dans leurs projets de vaccination. […] L’équipe de Princeton continue de travailler dans cette voie en testant d’autres maladies comme le paludisme et la méningite ».
Sujets similaires
» TZ > ipod / iphone > 1700 SONNERIES pour iPhone (en M4R) 1700 SONNERIES pour iPhone (en M4R)
» pour les membres
» les utilitaires pour PC
» Pour les débutants
» 17 SERVEURS POUR LA SOIREE
» pour les membres
» les utilitaires pour PC
» Pour les débutants
» 17 SERVEURS POUR LA SOIREE
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|